Prières du vendredi flashpoint craint sur Trump Jerusalem move
08/12/2017
Après les affrontements en Cisjordanie et à Gaza jeudi, une éruption de violence encore plus grande est à craindre lors des prières du vendredi, alors que les Palestiniens protestent contre la reconnaissance par le président américain Donald Trump de Jérusalem comme capitale d'Israël.
08/12/2017
Après des affrontements en Cisjordanie et à Gaza jeudi, une escalade de la violence est redoutée lors des prières du vendredi après la décision du président Trump de reconnaître Jérusalem comme la capitale d'Israël.
Après les affrontements en Cisjordanie et à Gaza jeudi, une éruption de violence encore plus grande est à craindre lors des prières du vendredi, alors que les Palestiniens protestent contre la reconnaissance par le président américain Donald Trump de Jérusalem comme capitale d'Israël.
Le sanctuaire musulman de la mosquée Al-Aqsa dans la ville pourrait être un point d'éclair, avec le groupe islamiste Hamas appelant à un nouveau soulèvement ou à une Intifada.
C'est un appel soutenu par le Hezbollah libanais.
Le dirigeant du groupe, Hassan Nasrallah, a déclaré que(l'escalade de la résistance) serait (la réponse la plus importante, la plus grave et la plus grave) à une décision américaine, qualifiée d'agression flagrante contre le monde arabe et musulman.
Dans la confrontation de jeudi entre les Palestiniens et les troupes israéliennes, au moins 31 personnes ont été blessées par des tirs israéliens et des balles en caoutchouc, ont indiqué des médecins.
Certains manifestants ont jeté des pierres sur les soldats et d'autres ont scandé:(Mort à l'Amérique! Mort à l'imbécile Trump)
L'armée israélienne a déclaré qu'un avion et un char avaient pris pour cible deux postes appartenant à des militants dans la bande de Gaza contrôlée par le Hamas après que trois roquettes aient été lancées sur Israël.
L'inversion de Trump de décennies de politique américaine a déclenché une furie en Egypte où les manifestants ont exprimé leur colère dans le centre du Caire jeudi.
Des centaines se sont rassemblés devant l'ambassade américaine à Ankara. Le président turc Recep Tayyip Erdogan a déclaré que la déclaration de Trump piétine le droit international.
